Aucune obligation morale

 

L’homme se porte naturellement vers la vérité.
Il est tenu de l’honorer et [d'en témoigner] ...
Les hommes ne pourraient pas vivre ensemble s’ils n’avaient pas de confiance réciproque,
c’est-à-dire s’ils [n'étaient pas vrais les uns avec les autres].
Catéchisme de l'Église catholique (CEC), n° 2467, 2469

 

SUBISSEZ-VOUS des pressions de la part de votre entreprise, du conseil scolaire, de votre conjoint ou même de votre évêque pour vous faire vacciner ? Les informations contenues dans cet article vous donneront des bases juridiques et morales claires, si c'est ce que vous recherchez, pour justifier votre refus de vous faire inoculer de force.

 

SUPPOSITIONS HÂTIVES

On aurait pu entendre des cris de surprises s'élever collectivement à travers le monde lorsque certains évêques, certaines conférences épiscopales et même le Pape déclarèrent publiquement ou sur leurs sites Internet qu'il existe une obligation morale de s'aligner et de prendre les vaccins expérimentaux actuellement délivrés dans plusieurs pays. Le Saint-Père, par exemple, a déclaré dans un entretien télévisé :

Je crois que moralement tout le monde doit prendre le vaccin. C'est le choix moral car il s'agit de votre vie mais aussi de la vie des autres. Je ne comprends pas pourquoi certains disent que cela pourrait être un vaccin dangereux. Si les médecins vous présentent cela comme une chose bonne ne comportant aucun danger particulier, pourquoi ne pas le prendre ? Il y a un déni suicidaire que je ne saurais expliquer, mais aujourd'hui, les gens doivent se faire vacciner. — PAPE FRANÇOIS, interview pour le programme d'information italien TG5, 19 janvier 2021; ncronline.com

J'ai déjà répondu aux affirmations du Pape François selon lesquelles ces vaccins ne comportent « aucun danger particulier », alors que c'est faux, par exemple, lisez Grave Dangers - Partie II et Le symbole du caducée en expliquant aussi pourquoi ses opinions lors de cet entretien télévisé, bien qu'importantes, n'obligent pas les fidèles. « ... si vous êtes troublé par certaines déclarations que le pape François a faites dans ses récentes entrevues, ce n'est pas de la déloyauté, ni une absence de 'Romanità', que de désapprouver certaines parties des interviews qui ont été données à l'improviste. Naturellement, si nous sommes en désaccord avec le Saint Père, nous le faisons avec le plus profond respect et la plus grande humilité, conscients que nous pouvons avoir besoin d'être corrigés. Cependant, les interviews du Pape n'exigent ni l'assentiment de la foi qui est donné aux enseignements ex cathedra, ni la soumission intérieure de l'esprit et de la volonté qui doit être donnée à ses déclarations faisant partie de son magistère non infaillible mais néanmoins authentique. — Père Tim Finigan, professeur en théologie sacramentelle au séminaire St John, Wonersh ; extrait de The Hermeneutic of Continuity , « Assent and Papal Magisterium », 6 octobre 2013; http://the-hermeneutic-of-continuity.blogspot.co.uk, Cf. Vax ou pas Vax Aussi, ce serait une erreur de lire ce présent article comme s'il s'agissait d'un affront ou d'une attaque à l'encontre de ces bergers (qui ne sont pas tous d'accord sur cette question, d'ailleurs). Je présente plutôt ceci dans un souci de servir la vérité dans l'intérêt du « bien commun ». 

Selon le savoir, la compétence et le prestige dont ils jouissent, [les fidèles] ont le droit et même parfois le devoir de donner aux Pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l'Église et de la faire connaître aux autres fidèles restant sauves l'intégrité de la foi et des moeurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l'utilité commune et de la dignité des personnes. Code de Droit Canonique, 212

Afin d'éviter un jugement imprudent, nous devons supposer que certaines des positions de nos bergers sur ces questions, comme sur beaucoup d'autres questions sociétales, sont également le produit d'un récit hautement contrôlé, encouragé par les médias, ayant obscurci de nombreux faits relatifs à l'industrie de la vaccination, et surtout, relatifs à la véritable nature de ces vaccins expérimentaux actuellement distribués y compris au sein de certaines églises [devenues des centres de vaccination].

Tout bon chrétien doit être plus prompt à sauver la proposition du prochain qu’à la condamner. Si l’on ne peut la sauver, qu’on lui demande comment il la comprend ; et s’il la comprend mal, qu’on le corrige avec amour ; et si cela ne suffit pas, qu’on cherche tous les moyens adaptés pour qu’en la comprenant bien il se sauve. -CEC, n° 2478

Et donc, après avoir dit cela, voici pourquoi les vaccins expérimentaux à ARNm ne peut pas être considérés comme moralement obligatoires…

 

LE SOPHISME DE « L'IMMUNITÉ COLLECTIVE »

L'argument entier derrière cet impératif moral est le concept de contribution à «l'immunité collective». La définition a toujours été comprise comme signifiant qu'une plus grande partie de la population a construit une immunité contre une certaine contagion, soit par une infection antérieure, soit par des vaccins. Mettre tout simplement:

L'immunité collective peut être obtenue soit par infection et rétablissement, soit par la vaccination. —Dr. Angel Desai, rédacteur en chef adjoint de JAMA Network Open, Maimuna Majumder, Ph.D., Boston Children's Hospital, Harvard Medical School; 19 octobre 2020; jamnetwork.com 

Cependant, en octobre 2020, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a discrètement mais de façon significative modifié la définition :

L’« immunité collective » (ou « immunité de la population ») est un concept utilisé pour la vaccination, selon lequel une population est ‎protégée contre un virus donné une fois un certain seuil franchi.‎.. L’immunité collective contre la COVID-19 devrait être obtenue en assurant une protection par la vaccination et non en exposant les gens à l’agent pathogène responsable de la maladie.— 15 octobre 2020 ; who.int

Les implications ne peuvent en être sous-estimées car des responsables de la santé non élus, suivant les directives de l'OMS, imposent désormais une politique publique à des populations entières dans le but de parvenir à « l'immunité collective » — et de nombreux évêques se contentent simplement d'être en phase avec eux. C'est profondément troublant. Car à présent, « l'exposition » des personnes en bonne santé à un virus dans le but de développer une immunité naturelle n'est plus considérée comme une stratégie viable ; seuls les vaccins peuvent apparemment permettre désormais d'atteindre cette « immunité collective ».

Cette redéfinition non scientifique et peu contestée a essentiellement rendu le monde entier redevable aux sociétés de vaccins, et a donc déjà conduit à de graves violations des droits de l'homme — comme le fait d'enfermer des personnes saines jusqu'à ce qu'elles soient vaccinées, cf. Quand j'avais faim d'obliger les personnes en bonne santé à porter un masque jusqu'à ce qu'elles soient vaccinées, ce qui contredit un consensus d'études croissant qui soutiennent tout l'inverse. cf. Démasquer les faits et d'interdire désormais aux citoyens en bonne santé d'accéder aux lieux publics sans « passeport vaccinal ». cf. Chers bergers… Où êtes-vous? (Une note de bas de page à ce désastre est le fait que les tests PCR pour la COVID-19 sont profondément déficients. La revue médicale BMJ a publié le 18 décembre 2020 un article traitant de cette grave crise, qui gonfle faussement la gravité de cette pandémie avec les conséquences catastrophiques susmentionnées. Même « L'OMS a informé les utilisateurs et les fabricants de tests PCR, le 14 décembre 2020, puis à nouveau le 20 janvier 2021, que les seuils du cycle PCR devaient être abaissés. » (Mercola.com) Lire : « Covid-19 : les tests de masse ne sont pas fiables et donnent un faux sentiment de sécurité, admet le ministre » ; bmj.com. Lire aussi cet article dans The Lancet, et même l'avertissement de la Food and Drug Administration (FDA) concernant les « faux positifs » des tests PCR ici.)

Et c'est là que toute l'argumentation selon laquelle les vaccins à ARNm sont en quelque sorte une « obligation morale » commence à prendre une sombre tournure…

 

CE NE SONT PAS DES VACCINS

Les vaccins expérimentaux utilisant de l'ARN messager appelés « vaccins à ARNm » ne répondent pas à la définition standard des vaccins. Ils ont été développés comme « thérapie génique » principalement pour le traitement du cancer. L'un des fabricants de cette technologie, Moderna, le déclare dans leur document d'enregistrement :

Actuellement, l'ARNm est considéré comme un produit de thérapie génique par la FDA. — pg. . 19, sec.gov

La raison en est que ces « vaccins » contre la COVID-19 ne sont pas des vaccins conventionnels fabriqués au moyen de virus vivants ou atténués. 

Les vaccins Pfizer et Moderna sont fabriqués avec des nanoparticules lipidiques qui contiennent du polyéthylène glycol (PEG) 8 et de l'ARN messager (ARNm). Les ARNm sont des extraits de code génétique qui contiennent des instructions pour que les cellules produisent des protéines. La définition de la génétique est « relative aux gènes » et les gènes contiennent un code d'instruction qui indique au corps quelles protéines ils doivent fabriquer. La thérapie est le traitement médical d'une maladie, et donc les vaccins à ARNm sont très clairement une thérapie génique. — Dr Joseph Mercola, « Les définitions des pandémies, des vaccins et de l'immunité collective ont toutes changé », 22 mars 2021; Mercola.com

Ainsi, dit-il, le fait de qualifier les vaccins contre la COVID-19 de « vaccins » plutôt que de thérapies géniques est une violation de l'article 15 du code américain 41, qui déclare qu'il est illégal d'annoncer…

… qu'un produit ou un service peut prévenir, traiter ou guérir une maladie humaine à moins que vous ne possédiez des preuves scientifiques compétentes et fiables, y compris, le cas échéant, des études cliniques sur l'être humain parfaitement contrôlées, attestant que les allégations sont vraies au moment où elles sont faites. -govinfo.gov

En fait, un ami m'a écrit récemment pour me dire que même sa compagnie d'assurance ne le couvrirait pas en cas de blessure ou de décès suite à ces nouveaux « vaccins ». La raison, ont-ils dit, est qu’ils les considèrent comme « expérimentaux ».

Visiblement, note le Dr Mercola, même la définition d'un vaccin, c'est-à-dire « une préparation de micro-organismes tués, d'organismes vivants atténués ou d'organismes vivants pleinement virulents, administrée pour produire ou augmenter artificiellement l'immunité contre une maladie particulière », a été modifiée récemment par le Dictionnaire Merriam-Webster. Ils l'ont changée pour inclure : « une préparation de matériel génétique (tel qu'un brin d'ARN messager synthétisé) qui est utilisée par les cellules du corps pour produire une substance antigénique (telle qu'un fragment de protéine S, ou Spike, virale) ». 

Cependant, les jeux de mots et la science sont deux choses différentes.

Le soi-disant vaccin Covid-19 n'est pas du tout un vaccin. C'est une thérapie génique expérimentale dangereuse. Le Center for Disease Control, le CDC, donne la définition du terme vaccin sur son site . Un vaccin est un produit qui stimule le système immunitaire d'une personne dans le but de produire une immunité contre une maladie spécifique. L'immunité est la protection contre une maladie infectieuse. Si vous êtes immunisé contre une maladie, vous pouvez y être exposé sans être infecté. Ce prétendu vaccin Covid-19 ne confère à aucune personne recevant le vaccin une immunité contre la Covid-19. Cela n'empêche pas non plus la propagation de la maladie. — Dr Stephen Hotze, MD, 26 février 2021; hotzehwc.com

Le problème est que dans le cas de Moderna et Pfizer, ce n'est pas un vaccin. C'est de la thérapie génique. C'est un agent de chimiothérapie qui est une thérapie génique. Ce n'est pas un vaccin… Il ne permet pas d'éviter l'infection. Il ne permet par d'empêcher la transmission. C'est un moyen par lequel votre corps est appelé à fabriquer la toxine à laquelle votre corps s'habituerait ensuite d'une manière ou d'une autre, mais contrairement à un vaccin, qui vise à déclencher la réponse immunitaire, il s'agit de déclencher la création de la toxine ... Les compagnies elles-mêmes ont admis tout ce que je dis, mais elles utilisent la manipulation publique du mot vaccin pour convaincre le public qu'il reçoit quelque chose qu'il n'obtient pas réellement. Cela ne vous empêchera pas d'attraper un coronavirus. —Dr. David Martin, «C'est la thérapie génique, pas un vaccin», 25 janvier 2021; westonaprice.org 

Après avoir consulté les protocoles d'essais cliniques de Moderna, Pfizer et AstraZeneca, Le vaccin Oxford-AstraZeneca pénètre en fait dans le noyau de ses cellules, selon un : « L'adénovirus pousse son ADN dans le noyau cellulaire. L'adénovirus est conçu pour qu'il ne puisse pas se reproduire, mais le gène de la protéine de spicule ("spike" ou S) du coronavirus peut être lu par la cellule et copié dans une molécule appelée ARN messager, ou ARNm. — 22 mars 2021, nytimes.com l'ancien professeur de Harvard, William A. Haseltine, a observé que leurs « vaccins » ne visaient en effet qu'à réduire les symptômes et non à arrêter la propagation de l'infection.

Il semble que ces essais visent à franchir la barrière de succès la plus basse possible. —23 septembre 2020; forbes.com

Cela a été confirmé par le Directeur du Service de santé publique des États-Unis le Good Morning America. 

Lors des tests, [les vaccins à ARNm] ont un impact sur l'issue d'une maladie grave — mais pas pour prévenir une infection. — Directeur du Service de santé publique des États-Unis, Jerome Adams, 14 décembre 2020; dailymail.co.uk

Et par conséquent, s'effondre toute l'argumentation visant à nous faire croire que ces vaccins expérimentaux sont une « obligation morale contribuant au bien commun » sous prétexte qu'ils permettent de développer une « immunité collective ». Ils ne renforcent pas plus l'immunité collective que la prise de Paracétamol n'empêche les autres d'avoir une migraine. 

Le seul à bénéficier d'un « vaccin » ARNm est l'individu vacciné, car tout ce pour quoi ils ont été conçus, c'est l'atténuation des symptômes cliniques associés à la protéine Spike S1. Puisque vous êtes le seul à en retirer un bénéfice, cela n'a aucun sens d'exiger que vous acceptiez les risques de la thérapie « pour le plus grand bien » de votre communauté. — Dr Joseph Mercola,  « Les vaccins COVID-19 sont une thérapie génique », 16 mars 2021

Si ces vaccins n'empêchent pas du tout la transmission, obtenir une immunité collective via la vaccination devient impossible. -ScienceNouvelles, 8 décembre 2020; sciencenews.org

Donc, si vos collègues, votre famille ou même votre pasteur soutiennent que ces vaccins sont une « obligation morale » pour protéger les autres, montrez-leur la vérité scientifique. Et si cela ne les convainc pas, il suffit de répéter le document officiel de l'Église posté par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, (en notant les mots soulignés) :

… tous les vaccins reconnus comme cliniquement des et efficaces peuvent être utilisés en toute bonne conscience…Dans le même temps, la raison pratique montre clairement que la vaccination n'est pas, en règle générale, une obligation morale et que, par conséquent, elle doit être volontaire… En l'absence d'autres moyens d'arrêter ou même de prévenir l'épidémie et par souci du bien commun, on peut recommander la vaccination…— « Note sur la moralité de l'utilisation de certains vaccins anti-Covid-19 », n° 3, 5 ; vatican.va; une « recommandation » n'est pas la même chose qu'une obligation

Il est urgent que l'Église commence à écouter les faits, précisément dans l'intérêt du « bien commun » (lire La Grande Réinitialisation pour comprendre les implications existentielles de la manière dont cette « crise » est manipulée).

Nous nous étions excusés autrefois pour ne pas avoir écouté la science. C'est dommage que Galilée n'était plus en vie pour l'entendre.

 

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Notes

Notes
1 par exemple, lisez Grave Dangers - Partie II et Le symbole du caducée
2 « ... si vous êtes troublé par certaines déclarations que le pape François a faites dans ses récentes entrevues, ce n'est pas de la déloyauté, ni une absence de 'Romanità', que de désapprouver certaines parties des interviews qui ont été données à l'improviste. Naturellement, si nous sommes en désaccord avec le Saint Père, nous le faisons avec le plus profond respect et la plus grande humilité, conscients que nous pouvons avoir besoin d'être corrigés. Cependant, les interviews du Pape n'exigent ni l'assentiment de la foi qui est donné aux enseignements ex cathedra, ni la soumission intérieure de l'esprit et de la volonté qui doit être donnée à ses déclarations faisant partie de son magistère non infaillible mais néanmoins authentique. — Père Tim Finigan, professeur en théologie sacramentelle au séminaire St John, Wonersh ; extrait de The Hermeneutic of Continuity , « Assent and Papal Magisterium », 6 octobre 2013; http://the-hermeneutic-of-continuity.blogspot.co.uk, Cf. Vax ou pas Vax
3 cf. Quand j'avais faim
4 cf. Démasquer les faits
5 cf. Chers bergers… Où êtes-vous?
6 Même « L'OMS a informé les utilisateurs et les fabricants de tests PCR, le 14 décembre 2020, puis à nouveau le 20 janvier 2021, que les seuils du cycle PCR devaient être abaissés. » (Mercola.com)
7 Le vaccin Oxford-AstraZeneca pénètre en fait dans le noyau de ses cellules, selon un : « L'adénovirus pousse son ADN dans le noyau cellulaire. L'adénovirus est conçu pour qu'il ne puisse pas se reproduire, mais le gène de la protéine de spicule ("spike" ou S) du coronavirus peut être lu par la cellule et copié dans une molécule appelée ARN messager, ou ARNm. — 22 mars 2021, nytimes.com
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