Quand nous faisons face au Mal

 

L'UN de mes traducteurs m'a transmis ce commentaire [d'une lectrice] :

Depuis trop longtemps l'Eglise se détruit elle-même en refusant les messages du ciel et en n'aidant pas ceux qui appellent au secours au ciel. Dieu se tait trop longtemps il prouve qu'il est faible car il laisse le mal agir. Je ne comprend pas sa volonté, ni son amour pas plus le fait qu'il laisse le mal se propager. Encore qu'il ait créé SATAN et ne l'a pas détruit quand il s'est révolté et le réduire en cendre. Je n'ai pas plus confiance en Jésus qui soit disant est plus fort que le Diable. Il suffit d'une parole et un geste et le monde serait sauver ! J'avais des rêves, des espoirs, des projets, mais maintenant je n'ai qu'un désire le soir, fermer les yeux définitivement !

Où donc est ce Dieu ? est-il sourd ? est-il aveugle ? se soucie-t-il des gens qui souffrent... 

Vous demandez à Dieu la Santé il vous donne la maladie, la souffrance et la mort.
Vous demandez un travail vous avez le chômage et suicide
Vous demandez des enfants vous avez la stérilité.
Vous demandez des saints curés vous avez des francs-maçons.

Vous demandez la joie et le bonheur, vous avez peine, chagrin, persécution malheur.
Vous demandez le Paradis vous avez l'Enfer.

Il a ses préférences depuis toujours — comme Abel envers Caïn, Isaac envers Ismaël, Jacob envers Esaü, les méchants envers les justes. C'est triste mais il faut se rendre à l'évidence SATAN EST PLUS FORT QUE LE CIEL RÉUNI ! Alors si Dieu existe qu'il me le prouve je l'attend pour lui parler si cela peu me convertir. Moi je n'ai demander à naitre.

 

FACE AU MAL

Après avoir lu ces mots, je suis sorti pour jeter un œil sur mes fils qui travaillaient dans notre ferme. Je les ai regardés les yeux en larmes... réalisant qu'il n'y a pas d' « avenir » pour eux en ce monde, tant que dure dans la situation actuelle. Et ils le savent. Ils se rendent compte qu'être obligés de recevoir une injection expérimentale n'est pas la liberté, d'autant plus qu'ils seraient alors engagés dans une suite d'injections de rappel sans fin , aussi souvent et de la façon dont le gouvernement le leur imposerait. Leurs déplacements seraient ensuite conditionnés à la présentation d'un « passeport vaccinal ». Ils se rendent également compte que la liberté de s'exprimer publiquement n'est plus permise, pas plus que la remise en question, au moyen d'arguments solides, de la logique de ce récit dictatorial pseudo-scientifique. Les paroles de notre hymne national canadien, « Dieu garde notre pays glorieux et libre ! » appartiennent à une époque révolue... et nous pleurons quand nous l'entendons entonner aujourd'hui. 

Et beaucoup d'entre nous, moi y compris, se sentent totalement trahis par nos bergers qui ont activement coopéré, volontairement ou par ignorance, à l'avancée de cette Grande réinitialisation sous prétexte de « pandémie » et de « changement climatique ». Quiconque a pris ne fut-ce que 15 minutes pour étudier cette initiative des Nations Unies promue par le Forum économique mondial comprend qu'il s'agit d'un mouvement communiste impie. cf. La prophétie d'Isaïe au sujet du communisme mondial Nos bergers ont silencieusement cédé aux autorités gouvernementales tout pouvoir de décision quant à la pratique de nos messes — le moment et la manière dont elles peuvent être tenues, les personnes autorisées à y assister. De plus, certains évêques ont ordonné à leurs troupeaux de se mettre en rang et de recevoir une injection qui aujourd'hui tue, blesse et mutile des milliers de personnes à travers le monde... cf. Le lourd bilan et nous nous sentons donc trahis. cf. Lettre ouverte aux évêques catholiques

Dieu permettra un grand mal contre Son Eglise : ils arriveront subitement et soudainement au milieu du sommeil des évêques et des prêtres. Ils entreront en Italie et dévasteront Rome, ils brûleront les églises et détruiront tout. — Vénérable Bartolomé Holzhauser (1613-1658 après JC) ; L'Antéchrist et la fin des temps, Rév. Joseph Iannuzzi, p.30

Car la première vocation de nos bergers est d'être des hommes — ensuite des pasteurs. Où sont les hommes pour se porter à la défense de nos femmes et enfants — en particulier nos enfants — sur lesquels nos gouvernements dirigent aujourd'hui leurs dangereuses aiguilles ? Où sont nos hommes pour dénoncer la destruction de nos libertés ? Où sont nos hommes pour se regrouper dans les villes et villages afin de dire NON à ce système à deux vitesses qui cherche à diviser et détruire la charité et la vie de nos communautés ? En effet, j'attends de nos prêtres et de nos évêques qu'ils soient en première ligne ! Un bon berger donne sa vie pour ses brebis — plutôt que de les livrer aux loups. 

Au Seigneur notre Dieu appartient la justice, mais à nous la honte sur le visage comme on le voit aujourd'hui : honte pour l'homme de Juda et les habitants de Jérusalem, pour nos rois et nos chefs, pour nos prêtres, nos prophètes et nos pères ; oui, nous avons péché contre le Seigneur, nous lui avons désobéi, nous n'avons pas écouté la voix du Seigneur notre Dieu, qui nous disait de suivre les préceptes que le Seigneur nous avait mis sous les yeux... Nous n'avons pas écouté la voix du Seigneur notre Dieu, à travers toutes les paroles des prophètes qu'il nous envoyait. Chacun de nous, selon la pensée de son cœur mauvais, est allé servir d'autres dieux et faire ce qui est mal aux yeux du Seigneur notre Dieu.Première lecture de la messe d'aujourd'hui, 1er octobre 2021

Nous vivons réellement le Livre de l'Apocalypse, comme nous l'indiquaient saint Jean-Paul II et Benoît XVI.

Cette lutte dans laquelle nous nous trouvons... [contre] des pouvoirs qui détruisent le monde, est évoquée par l'Apocalypse au chapitre 12... Il est dit que le dragon vomit un grand fleuve d'eau contre la femme en fuite pour l'entraîner dans ses flots... Je pense que le fleuve peut être facilement interprété: ce sont ces courants qui dominent tout et qui veulent faire disparaître la foi de l'Eglise, qui ne semble plus avoir de place face à la force de ces courants qui s'imposent comme la seule rationalité, comme la seule manière de vivre. — PAPE BENOÎT XVI, première session du synode spécial sur le Moyen-Orient, 10 octobre 2010

Et quel est ce torrent d'eau qui jaillit de la bouche de Satan aujourd'hui sinon sa religion nouvelle — La religion du scientisme: "croyance excessive dans le pouvoir des connaissances et des techniques scientifiques." Nous faisons véritablement face à un Cultus vaccinus. Considérez les caractéristiques générales d'une secte : du culturesearch.org

• Le groupe affiche une adhésion excessivement zélée et inconditionnelle envers son leader et son système de croyances.

• Le questionnement, le doute et la dissidence sont découragés, voire punis.

• Le leader de la secte dicte, parfois de manière très détaillée, la façon dont les membres doivent penser, agir et se sentir.

• Le groupe est élitiste, revendiquant pour lui-même un statut particulier et supérieur à celui des autres.

• Le groupe se trouve polarisé selon une mentalité de victimes et de boucs-émissaires, ce qui peut provoquer des conflits au sein de la société au sens large.

• Le leader n'a de comptes à rendre devant aucune autorité.

• Le groupe proclame ou laisse entendre que ses fins prétendument supérieures justifient tous les moyens qu'il estime devoir mettre en œuvre. Cela peut amener les membres à adopter des comportements ou à participer à des activités qu'ils auraient considérés comme répréhensibles ou contraires à l'éthique avant leur adhésion au groupe.

• Le leader induit des sentiments de honte et/ou de culpabilisation afin d'influencer et de contrôler les membres. Cela se fait souvent par la pression des pairs et par des formes subtiles de persuasion.

• L'asservissement au leader ou au groupe oblige les membres à couper les ponts avec la famille et les amis.

• Le groupe a pour mission de faire entrer dans la secte de nouveaux adeptes.

• Les membres sont encouragés ou contraints à fréquenter et/ou à vivre uniquement avec les autres membres du groupe.

Je peux honnêtement dire que ce qui se passe aujourd'hui est profondément démoniaque — un mot que j'hésite à employer car il est souvent mal utilisé. Mais certaines choses doivent être appelées par leur nom.

Devant une situation aussi grave, le courage de regarder la vérité en face et d'appeler les choses par leur nom est plus que jamais nécessaire, sans céder à des compromis par facilité ou à la tentation de s'abuser soi-même. A ce propos, le reproche du Prophète [Isaïe] retentit de manière catégorique: « Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal, qui font des ténèbres la lumière et de la lumière les ténèbres » (Is 5:20). — PAPE JEAN-PAUL II, Evangelium Vitae, «L'Évangile de la vie», n° 58

N'entendez-vous pas résonner les paroles de l'évangéliste saint Jean ? 

... et l'on se prosterna devant le Dragon parce qu'il avait donné le pouvoir à la Bête. Et, devant elle, on se prosterna aussi, en disant : « Qui est comparable à la Bête, et qui peut lui faire la guerre ? » (Ap XNUMX:XNUMX)

Qui peut lutter contre les mesures gouvernementales obligatoires ? Qui peut lutter contre les passeports vaccinaux ? Qui peut lutter contre les injections forcées ? Qui peut survivre dans un monde qui exige cela de nous ?

Et donc, face à ce mal, nous pouvons être tentés de désespérer et de croire que Satan est vraiment plus puissant que notre Jésus crucifié...

 

LE MYSTÈRE DE NOTRE LIBRE ARBITRE

Il n'existe pas de réponse facile au mystère du mal dans le monde. Comme l'écrivait cette femme désespérée : « Je n'ai pas plus confiance en Jésus qui soit disant est plus fort que le Diable. Il suffit d'une parole et un geste et le monde serait sauvé ! »

Mais le serait-il vraiment ? Comme je l'ai souvent dit lors de mes conférences : ils ont crucifié Jésus quand Il a marché sur la terre et nous le crucifierions à nouveau aujourd'hui.

Il nous faut comprendre et assumer le fait que nous sommes doués d'un libre arbitre. Nous ne sommes pas des animaux ; nous sommes des êtres humains — des hommes et des femmes créés « à l'image de Dieu ». En tant que tel, l'homme a été doté de la capacité d'entrer en communion avec Dieu. Tandis que le monde animal peut être en harmonie avec Dieu, mais ce n'est pas la même chose que d'être en communion. Cette union de l'esprit, de l'intelligence et de la volonté de l'homme avec Dieu nous a donné cette aptitude proprement divine de connaître et de faire l'expérience de l'amour, de la joie et de la paix infinis de notre Créateur. C'est plus incroyable qu'on ne le pense... et nous le réaliserons un jour.

Maintenant, c'est vrai — Dieu n'avait aucune obligation de nous créer de cette façon. Il aurait pu faire de nous des marionnettes avec lesquelles, d'un claquement de doigts, Il nous ferait tous nous mouvoir en harmonie sans aucune possibilité de commettre le moindre acte mauvais. Mais alors, nous n'aurions plus la capacité de communion. Car le fondement même de cette communion est l'amour — et l'amour est toujours un acte libre. Ah ! quel don puissant, incroyable et terrible, n'est-il pas ! Ainsi, non seulement ce libre arbitre nous rend capables de recevoir la vie éternelle en Dieu, mais il nous donne par conséquent aussi la capacité de choisir de la rejeter. 

Ainsi, tout en reconnaissant le mystère de la liberté presque infinie avec laquelle le mal est autorisé à régner , comprenons que le fait que le mal existe est véritablement la conséquence directe de la capacité que nous, en tant qu'êtres humains (et anges), avons, par notre libre arbitre, d'aimer — et donc de participer à la Vie divine. 

Pourtant... pourquoi Dieu permet-il que la traite des êtres humains se poursuive ? Pourquoi Dieu permet-il aux gouvernements de bafouer nos libertés ? Pourquoi Dieu permet-il aux dictateurs de conduire leurs peuples à la famine ? Pourquoi Dieu permet-il aux militants islamiques de torturer, violer et décapiter les chrétiens ? Pourquoi Dieu a-t-il permis que des enfants soient abusés par des évêques ou des prêtres, pendant des décennies ? Pourquoi Dieu permet-il que mille injustices continuent d'être perpétrées à travers le monde ? Bien sûr, nous avons notre libre arbitre — mais pourquoi Jésus ne « fait-il pas quelque chose » qui servirait d'avertissement pour au moins secouer les méchants ? 

Il y a quinze ans, Benoît XVI a visité les camps de la mort à Auschwitz : 

Seul, Benoît XVI est entré dans le « Stammlager » sous la tristement célèbre porte « Arbeit macht frei » menant au mur de la mort, où des milliers de prisonniers furent exécutés. Face au mur, les mains jointes, il fit une profonde révérence et retira sa calotte. Au camp de Birkenau, où les nazis assassinèrent plus d'un million de Juifs et d'autres hommes et femmes dans des chambres à gaz et déversèrent leurs cendres dans des étangs voisins, le Pape Benoît XVI retint ses larmes tandis qu'il écoutait le Psaume 22 (XNUMX), et notamment les mots suivants : « Mon Dieu, j'appelle tout le jour, et tu ne réponds pas. » Le pontife de l'Église catholique s'exprima en italien lors d'une cérémonie à laquelle ont également assisté de nombreux survivants de l'Holocauste. « Dans un endroit comme celui-ci, les mots nous manquent ; à la fin ne peut rester qu'un redoutable silence — un silence qui est lui-même un cri du cœur élevé vers Dieu : "Pourquoi, Seigneur, es-tu resté silencieux ?" » Sa seule prière publique en allemand au cours de cette visite fut conclue par les mots, « Que ceux qui sont divisés se réconcilient. » — 26 mai 2006, congrèsjewishmondial.org

Ici, le Pape ne nous a pas offert de traité théologique. Il n'a pas proposé d'explications ni présenté d'excuses. Au lieu de cela, il s'est contenté de retenir ses larmes tout en faisant écho aux paroles de Jésus sur la Croix :

Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné? (Marc 15:34)

Mais alors, qui peut prétendre que Dieu ne connaît pas toute l'intensité du mal quand Lui-même a pris sur Lui tous les péchés depuis le commencement jusqu'à la consommation des temps ? En même temps, pourquoi cela n'aurait-il pas été suffisant pour que Jésus fasse écho sur la Croix à la plainte du Dieu trinitaire exprimée des milliers d'années plus tôt :

Le Seigneur vit que la méchanceté de l’homme était grande sur la terre, et que toutes les pensées de son cœur se portaient uniquement vers le mal à longueur de journée. Le Seigneur se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre et s’irrita en son cœur... (Gn 6:5-6)

Au lieu de cela, Il dit : « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font. » (Luke 23: 34)

Et à ce moment-là, au cœur même de la nature pleinement divine et humaine de Jésus, toute la colère de Dieu, que cette femme dans son commentaire estime devoir être déversée sur les méchants, fut au contraire déversée sur le Christ. La Croix n'a pas mis fin au mal (ou dit autrement, elle n'a pas annulé la possibilité radicale de notre libre arbitre), elle a simplement et merveilleusement ouvert la porte du Ciel qui avait été fermée par Adam.

 

SAGESSE INFINIE

Mais pourquoi Dieu n'a-t-il pas créé un monde à ce point parfait qu'aucun mal ne puisse y exister ? Avec sa puissance infinie, Dieu pourrait toujours créer quelque chose de meilleur. Cependant dans sa sagesse et sa bonté infinies, Dieu a voulu librement créer un monde "en état de pèlerinage" vers sa perfection ultime. Ce processus de perfectionnement implique, dans le dessein de Dieu, l'apparition de certains êtres, et la disparition d'autres ; la coexistence entre le plus parfait et le moins parfait ; les forces constructives et destructives de la nature. Avec le bien physique existe donc aussi le mal physique, aussi longtemps que la création n'a pas atteint sa perfection. Les anges et les hommes, en tant que créatures intelligentes et libres, doivent cheminer vers leur destinée ultime par leurs choix libres et leur amour préférenciel [ndtr, l'amour pour Dieu pour pour Satan]. Ils peuvent donc se dévoyer. En effet, ils ont péché. C'est ainsi que le mal moral est entré dans le monde, sans commune mesure plus grave que le mal physique. Dieu n'est en aucune façon, ni directement ni indirectement, la cause du mal moral. Il le permet cependant, car il respecte la liberté de sa créature, et, mystérieusement, il sait en tirer le bien : Car le Dieu Tout-puissant (...), puisqu'il est souverainement bon, ne laisserait jamais un mal quelconque exister dans ses œuvres s'il n'était assez puissant et bon pour faire sortir le bien du mal lui-même. -Catéchisme de l'Église catholique (CEC), n° XNUMX-XNUMX (reformulé sur base de la traduction anglaise)

Alors pourquoi une femme qui aspire à être mère reste stérile alors qu'une autre femme très fertile avorte sans raison de sa progéniture ? Pourquoi tel parent voit son enfant perdre la vie dans un accident de voiture alors qu'il se rend à l'université, tandis qu'un autre sombre dans la criminalité ? Pourquoi Dieu guérit-il miraculeusement une personne du cancer alors que la même maladie emporte une mère de huit enfants, malgré les prières ferventes de ceux-ci ? 

Il est certain que tout cela semble arbitraire selon notre point de vue limité. Et pourtant, dans Sa sagesse infinie, Dieu voit de quelle façon toutes choses contribuent au bien de ceux qui l'aiment. Je me souviens le jour où ma sœur est morte dans un accident de voiture quand j'avais 19 ans, elle en avait 22. Ma mère s'est assise sur le lit et m'a dit : « Nous pouvons soit rejeter Dieu et dire : "Pourquoi nous as-tu abandonnés ?" ... ou nous pouvons croire dans la foi qu'Il est assis ici à côté de nous en ce moment même, pleurant avec nous, et qu'il nous aidera à traverser cette épreuve... » Dans cette seule phrase, j'ai l'impression que ma mère a produit un tome entier de théologie. Dieu n'a pas voulu que la mort s'introduise dans le monde, mais Il le permet — Il permet nos choix horribles et leurs terribles conséquences — parce qu'Il nous a donné un libre arbitre. Mais ensuite, Il pleure avec nous, marche avec nous... et un jour dans l'éternité, nous verrons comment les horreurs que nous n'avons jamais comprises ici sur terre faisaient partie d'un plan divin pour sauver le maximum d'âmes. 

Le jugement dernier interviendra lors du retour glorieux du Christ. Le Père seul en connaît l’heure et le jour, Lui seul décide de son avènement. Par son Fils Jésus-Christ Il prononcera alors sa parole définitive sur toute l’histoire. Nous connaîtrons le sens ultime de toute l’œuvre de la création et de toute l’économie du salut, et nous comprendrons les chemins admirables par lesquels Sa Providence aura conduit toute chose vers sa fin ultime. Le jugement dernier révélera que la justice de Dieu triomphe de toutes les injustices commises par ses créatures et que son amour est plus fort que la mort. -CEC, n° 1010

Et puis, « Il essuiera toute larme de leurs yeux : de mort, il n'y en aura plus ; de pleur, de cri et de peine, il n'y en aura plus, car l'ancien monde s'en est allé. » Ap 21 :4. À l'heure actuelle, dans nos journées de vingt-quatre heures, avec le tic-tac des horloges, le vieillissement et le rythme des saisons... lorsque nous sommes confrontés à la souffrance, le temps peut sembler ne pas passer assez vite. Mais dans l'éternité, tout cela ne sera qu'un souvenir aussi bref que le battement d'un cil. 

J’estime, en effet, qu’il n’y a pas de commune mesure entre les souffrances du temps présent et la gloire qui va être révélée pour nous. (Rm 8: 18)

Ces mots ont été prononcés par un homme ayant bien souvent connu la faim, la persécution, la torture, l'emprisonnement et même la lapidation. 

Aujourd'hui, je regarde par ma fenêtre et je réalise que tout ce que j'ai écrit au cours de cet apostolat avait pour finalité de vous préparer pour la présente époque... pour cette Puissante Tempête, la Tempête du Communisme — et toutes les terribles choses que le cœur des fils des ténèbres peut concocter. Mais ce n'est qu'une tempête. Une fois de l'autre côté de celle-ci, ceux d'entre nous qui l'auront traversée verront s'accomplir, partiellement, le « sens ultime de toute l'œuvre de la création » et se réaliser les paroles du Notre Père — et s'établir, pour un temps, Son Royaume « sur la terre comme au Ciel. » 

Ô monde inique, tu fais tout pour me chasser de la surface de la Terre, pour me bannir de la société, des écoles, des conversations — de tout ; tu complotes pour démolir les temples et les autels, pour détruire mon Église et tuer mes ministres. Et moi, je prépare une Ère d'Amour, l'Ère de mon « Troisième FIAT ». Tu continueras dans tes efforts pour m'éliminer et je te confondrai avec l'Amour. Je vais te suivre de près et je te ferai face pour te confondre par l'Amour. Là où tu m'auras banni, j'érigerai mon Trône, et là j'y règnerai plus que par le passé, mais d'une manière tout à fait surprenante, à tel point que tu tomberas aux pieds de ce Trône comme subjugué par mon Amour.

Ah ! Ma fille, les créatures s'enfoncent de plus en plus dans le mal. Combien de machines de destruction préparent-elles ? Elles iront jusqu'à s'épuiser dans le vice, mais pendant qu'elles s'occuperont à suivre leur chemin, je m'assurerai que mon « Fiat Voluntas Tua » [« Que Ta Volonté soit faite »] soit réalisé et accompli et que ma Volonté règne sur la terre d'une manière entièrement nouvelle. Je serai occupé à préparer l'Ère du Troisième FIAT dans laquelle mon Amour sera révélé d'une façon merveilleuse et sans précédent. Ah oui ! Je veux confondre complètement les hommes par l'Amour. Ainsi, sois attentive : je veux que toi et moi ensemble, nous préparions cette Ère d'Amour divine et céleste. Nous allons y travailler tous les deux. — Jésus à la Servante de Dieu Luisa Piccarreta, 8 février 1921 ; Vol 12

Ensuite, nous verrons que l'époque actuelle n'était qu'une tentative pathétique d'un dragon très irrité cherchant à détruire une Église qui ne peut être détruite... que ce moment où nos bergers semblaient avoir fui le Jardin de Gethsémani sera suivi d'une période de Pentecôte, quand de véritables bergers rassembleront le troupeau du Christ avec tendresse, puissance et amour... que cette époque où nous aurons vu se répandre le communisme ne devait finalement pas aboutir au triomphe du mal mais n'être que le dernier sursaut d'orgueil d'hommes mauvais. Comprenez-moi bien, l'Église n'échappera pas à sa Passion. Mais il nous faut la perspective que Jésus lui-même nous a donnée :

La femme qui enfante est dans la peine parce que son heure est arrivée. Mais, quand l'enfant est né, elle ne se souvient plus de sa souffrance, tout heureuse qu'un être humain soit venu au monde. Vous aussi, maintenant, vous êtes dans la peine, mais je vous reverrai, et votre cœur se réjouira ; et votre joie, personne ne vous l'enlèvera. (Jean 16:21-22)

Jésus ne va pas nous quitter... Il est fou d'amour pour nous ! Mais la gloire de l'Église is va disparaître, pour un temps. Elle va descendre au tombeau. Pleurez, enfants des hommes! Mais aujourd'hui l'heure n'est pas à la nostalgie. Ce n'est plus le moment de pleurer les choses que nous avons perdues... mais d'attendre avec persévérance le monde que Jésus est en train de préparer pour Son Épouse avant Son dernier avènement dans la gloire à la fin des temps... une Ère d'Amour... Et pour ceux que le Seigneur aura rappelés à Lui, l'Ère d'Amour éternelle, le Ciel lui-même sera leur récompense. 

 

LECTURES CONNEXES

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