QUAND Le Pape Jean-Paul II a relancé le Rosaire en 2003, ce n'était pas par nostalgie.

Il appelait l'Église aux armes, pour reprendre la bataille spirituelle et matérielle qui fait rage à l'intérieur et à l'extérieur de l'Église. Il nous exhortait à faire appel au plus grand des intercesseurs - la Mère de Jésus - à venir à notre aide. Comme l'a dit un prêtre, «Mary est une dame… mais elle porte des bottes de combat.» En effet, dans la Genèse, c'est son talon qui va écraser la tête du serpent.

    Les graves défis auxquels le monde est confronté au début de ce nouveau millénaire nous amènent à penser que seule une intervention d'en haut… peut donner des raisons d'espérer un avenir meilleur…. L'Église a toujours attribué une efficacité particulière à cette prière, confiant au Rosaire… les problèmes les plus difficiles. À des moments où le christianisme lui-même semblait menacé, sa délivrance était attribuée à la puissance de cette prière, et Notre-Dame du Rosaire était acclamée comme celle dont l'intercession apportait le salut. –Jean Paul II, Rosarium Virginis Mariae ; 40, 39
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