Sur les divorcés et remariés

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LES confusion ces jours-ci provenant du Synode sur la Famille et de l'Exhortation Apostolique qui a suivi, la joie, atteint un niveau un peu fébrile alors que les théologiens, les experts et les blogueurs vont et viennent. Mais l'essentiel est le suivant: la joie ne peut être interprété que d'une seule manière: à travers le prisme de la tradition sacrée.

Entrez: les évêques de l'Alberta du Canada.

Dans un nouveau document qui traverse les raffinements et la gymnastique mentale de ceux qui souhaitent utiliser la joie comme instrument pour saper l'enseignement de l'Église, les évêques de l'Alberta et des Territoires du Nord-Ouest ont émis Lignes directrices pour l'accompagnement pastoral des fidèles du Christ divorcés et remariés sans décret de nullité. C'est un coup de clarté brillant et simple. Il embrasse à la fois l'importante vision du pape François de devenir des vases de la miséricorde de Dieu pour notre génération brisée, tout en leur montrant le seul chemin à suivre: l'Évangile de Jésus-Christ.

Ci-dessous, je crée un lien vers l'ensemble du document, qui est bref. Cependant, je citerai les passages les plus lucides et critiques, qui devraient constituer un document de travail pour les collèges d'évêques du monde entier.

Il peut arriver que, par le biais des médias, des amis ou de la famille, les couples aient été amenés à comprendre qu'il y a eu un changement dans la pratique de l'Église, de sorte que maintenant la réception de la Sainte Communion à la Messe par des personnes divorcées et remariées possible s'ils ont simplement une conversation avec un prêtre. Cette vue est erronée. Les couples qui l'expriment doivent être invités à rencontrer un prêtre afin qu'ils entendent à nouveau proposer «le plan de Dieu [concernant le mariage] dans toute sa grandeur» (la joie, 307) et ainsi être aidés à comprendre le chemin correct à suivre vers la pleine réconciliation avec l'Église.

… La direction douce et claire du pasteur qui aide le couple à former une bonne conscience les aidera grandement à vivre en accord avec leur situation objective. Si le processus judiciaire aboutit à une déclaration de nullité, ils comprendront la nécessité de procéder à la célébration du sacrement du mariage. Dans le cas où le tribunal confirme la validité de la première union, l'obéissance dans la foi à l'indissolubilité du mariage telle que révélée par le Christ leur fera comprendre les actions qui doivent suivre. Ils sont tenus de vivre avec les conséquences de cette vérité dans le cadre de leur témoignage du Christ et de son enseignement sur le mariage. Cela peut être difficile. Si, par exemple, ils ne peuvent pas se séparer pour s'occuper des enfants, ils devront s'abstenir de toute intimité sexuelle et vivre dans la chasteté «comme frère et sœur» (cf. Consortio Familiaris, 84). Une telle ferme résolution de vivre selon l'enseignement du Christ, en comptant toujours sur l'aide de sa grâce, leur ouvre la possibilité de célébrer le sacrement de la Pénitence, qui à son tour peut conduire à la réception de la sainte cène à la messe. — extrait de Lignes directrices pour l'accompagnement pastoral des fidèles du Christ divorcés et remariés sans décret de nullité, 14 septembre 2016, Fête de l'Exaltation de la Sainte Croix

 

Pour lire l'intégralité du document, cliquez ici: Lignes directrices pour l'accompagnement pastoral des fidèles du Christ divorcés et remariés sans décret de nullité

 

  

Merci pour vos dîmes et vos prières.

 

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Publié dans ACCUEIL, FOI ET MORALE.

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